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De : Philippe Brousse - Réseau Sortir du nucléaire - Coordinateur général

Société : Réseau "Sortir du nucléaire"
Répondre à : "rezo-congres@sortirdunucleaire.org"
Date : Sat, 16 Jan 2016 06:51:35 +0100
À : "rezo-congres@sortirdunucleaire.org" , Liste Rezo Débat <rezo-debat@sortirdunucleaire.org>
Objet : [rezo-congres] STOP À LA HAINE ET À LA BARBARIE !

Je suis profondément choqué par toute la haine et la barbarie qui se déverse au sein du Réseau "Sortir du nucléaire", ce qui devrait être contraire à nos valeurs et qui devraient être dénoncées par chacune et chacun d'entre nous.
 
Les salariés du Réseau, dont je fais partie, sont humiliés, dévalorisés et trainés dans la boue. Je trouve ça inadmissible.
 
Qui accepterait de recevoir personnellement et professionnellement autant d'insultes et de calomnies ?

Maintenant vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas !
 
 



Extraits d'Atomes crochus n°4 :

http://www.villesurterre.eu/images/stories/SDN-Atomes-Crochus-n-4.pdf
 
Page 24 :

La lutte antinucléaire en France est sabordée par une petite dizaine de personnes, dont 5 grassement payées avec notre argent (l’argent envoyé pour lutter contre le nucléaire) (...) des gens qui sont payés pour lutter contre le nucléaire luttent en fait... contre les antinucléaires !!!!! Tous les jours depuis 6 ans c’est un scandale insupportable. Qui se révolte contre ça ? Pourquoi Brousse est-il toujours en place ? Pourquoi nous coûte-t-il 4 000 euros par mois pour nous nuire ?

Philippe => je ne supporte pas ces propos faux, dégradants et insultants à mon encontre et à l'encontre d'autres salariés.
 
Page 18 :

En clair, les fautes les plus graves sont imputables à Philippe Brousse et Xavier Rabilloud qui, par leurs exactions, mettent gravement le Réseau en danger, ce qu’atteste la forte démission des groupes adhérents évaluée à plus de 50 % depuis 2010.

Philippe => Il est choquant de lire que je serai la cause avec un autre salarié "d'exactions"  et je "mette gravement le Réseau en danger".

Page 18 :

Après avoir pris connaissance des faits graves reprochés à Philippe Brousse et Xavier Rabilloud, et de l’incapacité du CA à prendre une décision de licenciement, pourtant salutaire et indispensable, l’assemblée générale du Réseau décide :
- de licencier Philippe Brousse et Xavier Rabilloud sans délai pour fautes graves multiples, ceci sans indemnités,

Philippe => je vous laisse juger d'un tel dénigrement.
 
Page 18 :

Et comme cela ne suffisait pas, voilà maintenant que le directeur Philippe Brousse s’invite sur notre seule liste de discussion censée être réservée aux échanges entre groupes adhérents (ou pas) préparant le Congrès. Cela montre à l’évidence qu’on ne peut avoir confiance en aucune liste de discussions installée sur le serveur du Ré- seau et que la seule liste qui conserve une clause de confidentialité entre les groupes demeure celle que nous avons créée en 2013 sous le nom de RÉSEAU-SDN.

Philippe => FAUX : je ne me suis pas invité mais faisant partie par ailleurs du comité "congrès", c'est le CA lui même qui a donné l'autorisation à tous les membres de ce comité d'y être inscrit. Je suis donc directement réceptionnaire de tous les mails de haine et de violence qui arrivent sur cette liste et je n'aurai pas le droit d'intervenir ?

Page 18 :

Etant donnés les faits graves qui leur sont reprochés, étant donné l’incapacité du CA à prendre une décision tendant à mettre fin à ces faits graves, nous demandons à l’assemblée générale de prendre une décision exceptionnelle de licenciement pour fautes graves et multiples de Philippe Brousse et Xavier Rabilloud, sans délai et évidemment sans indemnités.

Philippe => encore des propos diffamants sur mon travail et sur ma personne par de prétendus 'faits graves" .

Page 18 :

Nous disons « certains salariés » car nous faisons évidemment une différence entre différentes catégories de salariés : il y a d’une part les manipulateurs et d’autre part les manipulés qui n’ont d’autres choix que de suivre ou prendre la porte, ce qu’ont fait d’ailleurs quelques salariés qui ne supportaient plus cette pression permanente. Et puis, parmi les suiveurs, il y en a qui ont mieux su sortir leur épingle du jeu en négociant certaines promotions et augmentations de salaires en contrepartie de leur soutien. On va les appeler pour simplifier les salariés politiques devenus cadres, par magie, pour certains.

Philippe : des propos extrêmement choquants à l'encontre des salariés.

Non-fonctionnement total de la commission Communication, l’emprise de certains salariés sur le CA exerçant pressions, manipulations, chantages, harcèlement, violences morales...

Page 18 :

Emprise des salariés sur le déroulement des AG visant à empêcher un bon fonctionnement démocratique,

Page 18 :

Fausse procédure de recrutement de salariés pressentis d’avance, 

Page 24 :

Non, la dissolution de l’actuel réseau SDN n’est pas un leurre. Ce n’est qu’une option pour en finir avec une structure obsolète construite et verrouillée par des statuts et un règlement intérieur écrits pour donner le pouvoir absolu à une petite équipe aux ordres de Philippe Brousse. Il y a d’autres solutions probablement pour construire une nouvelle structure.

Philippe => Encore des propos qui me dévalorisent. 

Page 24 :

Mais, en filigrane de ces différentes positions, il y a ce que, aujourd’hui, presque tout le monde appelle « la crise », avec l’affrontement entre deux personnes, Stéphane Lhomme et Philippe Brousse.

=> FAUX, je ne m'affronte pas à S.Lhomme, et au contraire j'ai toujours été dans une approche de dialogue constructif, par contre S. Lhomme veut la destruction du Réseau et "finir le travail" (comme il l'écrivait juste avant la signature des protocoles d'accord) en souhaitant mettre dehors un certains nombre de salariés dont je fais partie.
 
Page 26 (par Michel Lablanquie et Michel Boccara) :

Le congrès, s’il réussit, devra permettre de sortir de cette impasse et, pour une partie des intervenants sur cette liste, cela n’est possible que si Philippe Brousse s’en va également.

Page 26 (toujours par Michel Lablanquie et Michel Boccara)

Les deux principaux protagonistes redevenus militants, bien que certains contestent cette qualité à Philippe Brousse, alors peut-être pourrons-nous avoir une situation apaisée et parler plus tranquillement des questions d’organisation du réseau et de la lutte contre l’énergie nucléaire. Et, pendant ce temps, les nucléocrates se marrent ?

Philippe => FAUX : je suis militant et personne n'a le droit de porter un tel jugement sur moi même sans me connaitre. 

Page 26 :

« Nous sommes nombreux à ne pas faire confiance aux responsables de cette séquence. Autrement dit, ceux que Stéphane nomme “brousse et ses séides” doivent quitter la gouvernance du réseau SDN,
c’est pour eux une SORTIE IMMÉDIATE, voire IMMINENTE. »

Philippe => Encore des propos dévalorisants à mon encontre.
 
 Page 31 :

"Une ligne a été donnée comme seule raisonnable et toute parole contraire a été exclue au nom de l’unité. Philippe Brousse pousse à leur paroxysme les tentations énumérées plus haut. En 2000, j’étais avec Monique Guittenit chargée de la rédaction de la brochure « Par ici la sortie ». Je souhaitais l’unité du mouvement et je ne comprenais pas pourquoi Brousse prenait un ton suraigu pour exclure tout dialogue par exemple avec le Comité Nogent."

Philippe => je pense au contraire avoir toujours agi pour l'unité du mouvement. A l'époque le Comité Stop Nogent était sur une ligne de "sortie immédiate" en critiquant fortement et publiquement le Réseau. Stop Nogent ne pouvait pas supporter que le Réseau puisse être dans une position d'ouverture et de large rassemblement sur des positions arrêtées en AG. Plusieurs tentatives de dialogue se sont soldées par des échecs car Stop Nogent ne voulait pas dialoguer avec le Réseau (qui était soit disant vendu au lobby nucléaire).
 
Page 15 :

Légalement oui, ils ont le même statut juridique que n’importe quels autres salariés. Cependant, quand on y regarde de plus près, on se demande si l’on ne ferait pas mieux de les considérer comme les conseillers régionaux, leurs assistants ou même parfois certains fonctionnaires territoriaux.

Page 16 :

Il sera donc amusant de voir des salariés d’un réseau qui se dit antinucléaire soutenus par des syndicats qui s’affichent pro- nucléaires ! Peut-être même ces syndicats seront-ils trop contents de pouvoir ainsi s’opposer à un mouvement antinucléaire ?

Page 16 :

Atomes crochus n° 3, « Les finances », p. 9, soit 3 125 € consacrés à chaque salarié ! Soit sans doute environ 2 500 € net par salarié. Les adhérents sont- ils conscients que plus de 60 % de leur cotisation va au paiement de salaires et pas à la lutte antinucléaire ? Cela fait penser au « travailler plus pour travailler plus » auquel s’opposent les décroissants : là on cotise pour cotiser plus et payer des gens à ne pas faire grand-chose de décisif finalement, et peut- on les en blâmer ? l’arrêt du nucléaire ne peut être que le résultat d’une forte mobilisation... bénévole.

Page 13 :

S’il constate que des besoins ne sont pas satisfaits ou que des services rendus ne sont pas satisfaisants, il sollicitera des associa- tions ou des prestataires pour proposer les services nécessaires à la prochaine assemblée générale. Les prestataires de services seront choisis de préférence dans les groupes de soutien au réseau. Les salariés actuels du réseau peuvent proposer leurs services sous forme de prestations commerciales.

Page 13 :

Les salariés actuels seront licenciés économiques et bénéficieront des indemnités maximum. Ils seront libres de proposer leurs services à des associations de base ou par l’intermédiaire d’une structure qu’ils créeront.



 

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